TEMOIGNAGE: Laurent Gounelle et l’homéopathie

Le centre Hahnemann est heureux de partager avec vous ce témoignage positif de Laurent Gounelle, auteur. Il y mentionne les bienfaits de l’homéopathie, dans son cas pour traiter une allergie.

«  Lorsque j’étais adolescent, je souffrais d’une allergie qui empoisonnait ma vie au quotidien. Mes parents m’ont emmené faire la tournée des médecins et allergologues, en vain. En désespoir de cause, ma mère a fini par pousser la porte d’un homéopathe… et mon allergie a été définitivement soignée en quelques semaines. J’ai entendu toute ma vie des témoignages de proches guéris par l’homéopathie, à moindre coût pour la sécu en comparaison avec les coûteux traitements allopathiques que des médecins conventionnels leur proposaient. »

Laurent Gounelle a signé la pétition; si vous aussi vous voulez le faire: Monhomeomonchoix.fr 

LIVRE BLANC: Quelle place pour l’homéopathie dans l’offre de soins?

Le 12 juin 2019 a été publié un livre blanc intitulé « Quelle place pour l’homéopathie dans l’offre de soins ? » dans lequel quatorze syndicats, sociétés savantes, fédérations de patients et collectifs de défense de l’homéopathie réaffirment « la place de l’homéopathie dans le système de santé ».

 

Le document fait plusieurs propositions pour « pérenniser l’accès à l’homéopathie pour tous les patients dans le cadre d’une prise en charge de qualité » : la reconnaissance du statut médical des professionnels, le maintien et la consolidation des formations, ainsi que le soutien à la recherche dans ce domaine. Pour éviter « les risques de dérives et de mésusage des traitements », ils en appellent aussi à la création d’une « commission éthique de l’homéopathie ». Et, ils réclament, bien entendu, le maintien du remboursement.

Pour télécharger le livre blanc, c’est ici.

 

FILM: Homéopathie, une autre voie

L’homéopathie, une autre voie – Un film de William Suerinck

Un témoignage original sur une pratique médicale aujourd’hui menacée, réalisé par le docteur psychiatre et homéopathe, William Suerinck. Un film qui dégage l’essence de l’homéopathie, ses principes, ses liens étroits avec la nature et ses possibilités insoupçonnées sur l’ensemble des êtres vivants.

Si vous souhaitez assister à une projection dans l’une des villes listées ci-dessous, vous pouvez envoyer un email pour réserver votre place à dialoguepourlasante@gmail.com

 

 

– Manosque (04100) Cap’cinéma, espace souveyran, le 22 juin.

– Paris (75002) Salle Jean Dame, rue Léopold Bellan, le 4 juillet, 19h30

– Marseille (13003) Théâtre Tourski, le 19 septembre, 19h30

– Lyon  le 22 septembre.

– La Ciotat (13600) cinéma l’Eden, le 11 octobre

 

Si vous ne pouvez pas assister à une projection, vous pouvez visionner le film ici.

Retrouvez toutes les infos sur le site dédié

Le Centre Hahnemann dans le Quotidien du Médecin d’avril 2019

Homéopathie, acupuncture, hypnose: faut-il enseigner les médecines complémentaires à la fac ?
Sophie Martos | 25.04.2019

Très peu intégrées dans les études de santé, les médecines alternatives et complémentaires, homéopathie en tête, interrogent la jeune génération.

Pour ou contre les médecines complémentaires dans le cursus des études médicales ? Lors d’un colloque organisé mi-avril à Paris, l’Intersyndicale nationale des internes (ISNI) s’est interrogée sur la place à accorder à ces pratiques souvent méconnues des jeunes médecins.

La place des médecines complémentaires dans les facs divise en profondeur. En septembre dernier, le doyen de faculté de Lille 2 a suspendu son DU d’homéopathie dans l’attente de l’avis de la Haute autorité de santé (HAS) sur l’efficacité des traitements homéopathiques et leur remboursement. Celui d’Angers l’a carrément supprimé. Plus récemment, c’est l’Académie de médecine qui a mis un carton rouge à l’enseignement de l’homéopathie dans les facultés. Le Collège national des généralistes enseignants (CNGE) appelle carrément à bouter « ces méthodes ésotériques qui appartiennent à l’histoire » hors des amphis. Dans l’autre camp, plusieurs universités résistent à l’instar de Brest et Strasbourg, qui proposent un cours d’information sur les médecines complémentaires aux étudiants du second cycle.

Médecin homéopathe à Reims et coordinateur du diplôme interuniversitaire (DIU) de Reims-Brest-Lyon Sud de thérapeutique homéopathique, le Dr Antoine Demonceaux regrette cette vague de désengagement au regard de l’engouement du grand public pour cette pratique : « 74 % des Français sont favorables, 56 % l’utilisent, trois générations de patients se soignent avec, il y a une confiance. »

Outre l’homéopathie, force est de constater que d’autres pratiques alternatives séduisent. 40 % des Français aurait testé l’acupuncture, selon le Dr Annie Felten, généraliste membre de l’association française d’acupuncture. Même si une poignée de facultés initie les jeunes, cette pratique émanant de la médecine chinoise s’est progressivement fait une place dans les hôpitaux. L’AP-HP l’a adoptée dans des situations difficiles d’oncologie et de soins palliatifs comme soins de support. « À l’AP-HP, des études sur la douleur chronique en gériatrie, sur les troubles musculo-squelettiques du personnel hospitalier et la douleur lombo-pelvienne de la grossesse ont été menées depuis 2008 […]. Les résultats sont satisfaisants », reprend le Dr Felten.

Lire l’article complet sur le site du quotidiendumedecin.fr

Le Centre Hahnemann dans Femininbio de mai 2019

Déremboursement de l’homéopathie, l’interview du Dr Dominique Eraud, paru le 13 mai 2019, sur fémininbio.

Depuis plusieurs mois, le débat fait rage au sein de la profession médicale. D’un côté les « anti-fake med » qui dénoncent l’inefficacité de l’homéopathie, de l’autre leurs confrères homéopathes qui protestent en saisissant le Conseil de l’Ordre. Pour mieux en comprendre les conséquences sur nous, patients, et sur notre liberté de choix thérapeutique, nous avons interrogé le Dr Dominique Eraud, médecin acupuncteur et homéopathe.

En mars 2018, un collectif de 124 professionnels de santé signait un appel cinglant contre les médecines alternatives, remettant en cause la pratique et la prescription des médicaments homéopathiques, critiqués sur leur aspect économique et leur efficacité. Un appel publié dans Le Figaro, suivi d’une tribune du Syndicat National des Médecins Homéopathes Français que nous avions également relayée. Depuis, la HAS (Haute Autorité de Santé) a été saisie pour évaluer le bien-fondé de la prise de charge de l’homéopathie par l’assurance maladie. Le débat s’étant rapidement étendu aux patients, nous avons souhaité interroger notre médecin référent, membre du Comité éthique de FemininBio, le Dr Dominique Eraud.

FemininBio : Depuis quand pratiquez-vous l’homéopathie ?

Dr Eraud : Je me suis installée en tant que médecin acupuncteur et homéopathe il y a 30 ans. J’étais alors fraichement diplômée et j’avais suivi la voie de mon père Dr Henri Eraud qui les pratiquait depuis bien longtemps. Il fut l’un des premiers médecins acupuncteurs de Paris et s’est beaucoup investi pour leur reconnaissance officielle par le Conseil de l’Ordre, les Ministères.. Ce mode de soins a bercé mon enfance et il m’est apparu comme une évidence d’en faire mes spécialités tant elles respectent profondément le serment d’Hippocrate « Primum non nocere » (D’abord, ne pas nuire).

Lire l’article complet sur le site de fémininbio.