CoViD-19 aigus et longs, prévention et traitement

La médecine conventionnelle et l’ostéopathie aident à prévenir et à traiter les infections à SARS-CoV, y compris lors des « CoViD-19 longs ».

Les SARS-CoV-2 mutent et modifient rapidement certains de leurs gènes et de leurs compétences. Ils pénètrent dans le corps humain par le nez, la bouche et les yeux. Ils se propagent à la gorge, aux poumons, au foie et à la bile, aux selles, aux urines et à tout notre organisme… Sa toux contamine notre environnement.

Des complications médicales du CoViD-19, l’isolement, la récession économique et le manque de soins ont provoqué un excès de mortalité. Les recommandations officielles, le respect des priorités vitales du corps humain et l’ostéopathie aident à suspecter les CoViD-19 et à mieux les guérir.

Car, comparativement aux tissus sains, fins, souples, mobiles et indolores, la palpation d’un territoire cellulaire épais, dur, figé et douloureux révèle une dysfonction locale. Elle donne le cordon myalgique du muscle, la tendinalgie du tendon, la dermalgie et son épidermalgie de la peau, la viscéralgie de l’organe et du viscère, la vasculalgie du pédicule vasculaire.

Le bilan ostéopathique identifie parfois une combinaison de dysfonctions palpables et spécifiques d’une pathologie. La façon dont chaque patient vit sa pathologie ajoute un tableau variable de dysfonctions palpables, à ce syndrome constant.

Tous les épaississements durs, figés et douloureux du syndrome constant d’une pathologie, et certains de son syndrome variable restent stables, s’aggravent ou s’améliorent comme leur pathologie. Les autres dysfonctions variables de la pathologie évoluent différemment. Pour guérir, elles nécessitent souvent un traitement spécifique, parfois mécanique. La palpation des dysfonctions cutanées repose sur un pincé-roulé difficile à maitriser pour certains.

Le palpé-roulé de la dermalgie et de son épidermalgie

La dermalgie est plus grande que son épidermalgie et leur centre est le même, cet icone positionne leurs épaississements cutanés durs, figés et douloureux.

Localiser une dermalgie = Entre leur pouce et son index, les mains proches l’une de l’autre attrapent une épaisseur de derme près du territoire cutané à tester. Elles tirent dessus pour décoller ce derme des tissus sous-jacents.

palper rouler cmh covid19 traitement

Chaque main serre son pouce et son index jusqu’à les sentir se toucher à travers le derme. Ces doigts les plus loin de la dermalgie passent dessous ce derme et le plient vers eux.

Les pouces et leur index, font glisser les deux plans de derme. Ils gardent
la surface de derme nécessaire et suffisante pour évaluer l’épaisseur, la
souplesse, la mobilité et l’absence de douleur de ce derme : pas assez =
le pli s’échappe, trop = il s’éloigne des doigts et son bourrelet devient flasque. Une main après l’autre, les doigts roulent ce pli vers la dermalgie recherchée, d’une longueur inférieure au tiers de l’épaisseur du bourrelet.

La dermalgie rend son derme grumeleux, épaissi, figé, dur et douloureux. Hormis qu’il ne garde que l’épiderme, le palpé-roulé de l’épidermalgie se calque sur celui de la dermalgie. Des patients nient la douleur de leur dermalgie en pensant que l’examinateur la pince plus fort. Éviter ce biais en remplaçant « Dites-moi quand vous avez mal » par « Dites-moi quand vous avez l’impression que j’appuie plus fort ».

Pincer moins fort quand le derme s’épaissit :

  1. Pour être certain de la position de sa dermalgie.
  2. Pour éviter qu’elle ne rougisse, que sa douleur s’aggrave, voire qu’apparaisse une ecchymose, alors que les zones voisines restent indemnes.
  3. Pour que la persistance de la douleur n’empêche pas de découvrir comment traiter la dermalgie et sa pathologie.
  4. Pour le dire au patient qui croit à un pincement plus fort de sa dermalgie.

Un nouveau syndrome constant de dysfonctions locales

En 2020, j’ai été confronté à un nouveau syndrome constant de dysfonctions locales chez tout patient testé positif au CoViD, chez des patients présentant les symptômes du CoViD aigu et testés négatifs au CoViD et chez les patients asymptomatiques pour le CoViD aigu et se plaignant d’une combinaison variable de symptômes actuellement attribués aux CoViD longs.

À la fatigue et aux troubles du sommeil de ces CoViD, leur syndrome constant ajoute :

  1. Une dysfonction cutanée dessus chaque mamelon, 4 travers de doigts sous sa clavicule.
  2. Une dysfonction viscérale à la palpation profonde de la fosse iliaque droite et du cæcum.
  3. Une dysfonction cutanée en regard de l’insertion basse du grand adducteur à droite et à gauche. Cf. encadré 2 positionnant les dysfonctions du syndrome constant des CoViD-19.
  4. Des douleurs à la palpation de la plupart des muscles des jambes. Trop nombreuses, diffuses et changeantes, elles ne sont pas répertoriées dans l’encadré 2.
  5. Une dysfonction du disque intervertébral L2-L3, papable par voie abdominale. Elle est toujours associée à une dysfonction des nerfs émergeant de cet espace. Ils régissent la vascularisation des muscles des jambes et du colon et sont responsables de la dysfonction cutanée en regard de l’insertion basse du grand adducteur droit et gauche.
  6. Une dysfonction sur le petit trochanter de l’insertion du psoas droit spasmé par le colon.
  7. L’absence de dysfonction cutanée à la verticale du mamelon et 7 travers de doigts sous chaque clavicule.
  8. Les 7 premiers items de ce syndrome constant s’améliorent, voire disparaissent, quelques secondes après un massage adapté au colon du patient.
  9. La récidive des 7 premiers items de ce syndrome constant, quelques secondes après un massage inadapté au colon du patient.
  10. Apparition des dermalgies sous mamelonnaires après le massage adapté au colon. Puis leur disparition en quelques jours avec la plupart de leurs autres symptômes CoViD-19.

La palpation des dermalgies à la verticale des mamelons est possible en position assise. La palpation des autres signes du syndrome constant des CoViD n’est possible qu’avec le patient couché sur le dos sur une surface plane et confortable, la tête surélevée de 15° par rapport à l’axe de sa nuque, ses genoux pliés à 90° et ses pieds sur la surface plane et confortable.

Le massage du colon

Les colons droit, transverse, gauche et sigmoïde jouent un rôle primordial dans l’immunité, les vitamines, le microbiote, des inflammations, des infections, des cancers 14-15… Les SARS-CoV-2 dans le colon 1, leur détection dans les stations d’épuration 16, la douleur du cæcum, le transit par la veine porte des agents infectieux du colon 17, l’absence de risque du massage du colon légitiment une tentative de masser le ventre pour traiter les CoViD-19 aigus et longs.

La disparition du syndrome constant CoViD-19 en quelques secondes et des autres symptômes des CoViD-19 aigus et longs en quelques jours, chez la plupart des patients, a validé ce massage. Car, pour des raisons inconnues, les dermalgies sous mamelonnaires disparaissent en même temps que les autres symptômes des CoViD-19 aigus et longs. Néanmoins, l’efficacité de ces massages n’enlève rien à l’intérêt de la vaccination et elle ne dispense pas les malades CoViD et le reste de la population des mesures sanitaires légales.

Les massages améliorant le syndrome constant des CoViD-19 et la plupart de leurs autres symptômes, tirent le colon soit vers l’extérieur, soit vers l’intérieur. Tous les patients CoViD-19, dont le syndrome constant des CoViD-19 est amélioré en tirant leur colon vers l’intérieur, aggravent leur syndrome constant CoViD-19 et la plupart de leurs autres symptômes CoViD-19 en tirant leur colon vers l’extérieur. Tous les patients CoViD-19, dont le syndrome constant CoViD-19 est amélioré en tirant leur colon vers l’extérieur, aggravent leur syndrome constant CoViD-19 et la plupart de leurs autres symptômes CoViD-19 en tirant leur colon vers l’intérieur.

Cette particularité confirme, si besoin, l’intérêt de placer le colon dans une position convenant au patient. Pour des raisons encore inexpliquées, ce repositionnement du colon est aussi bénéfique dans les colites, les gastroentérites, les infections ORL et pulmonaires, etc. Depuis longtemps j’exploitais ce massage avec de très bons résultats dans ces pathologies, d’où l’idée de l’utiliser dans les CoViD-19, avec la surprise de la disparition de leur syndrome constant et de la plupart de leurs autres symptômes.

Pour déterminer le massage de colon convenant à un patient, palpez d’abord, les 7 premières dysfonctions du syndrome constant des CoViD-19 aigu ou long. Leur absence présage de l’inefficacité de ces massages, ou d’une erreur de palpation de l’examinateur ou une difficulté du patient à ressentir ses dermalgies ou à les avouer, cf. encadré 1. Après avoir trouvé le syndrome constant des CoViD, laisser le patient dans la position allongée décrite plus haut.

Étape 1 : Placé sur le côté droit du patient, l’examinateur tire par 3 fois le colon droit vers l’extérieur. Pour cela, il pose la pulpe des quatre derniers doigts de sa main dominante au-dessus du pubis du patient. En longeant la branche ilio-pubienne du bassin du patient, la pulpe de ces doigts appuie aussi profond que possible, sans déclencher trop de douleurs, pour tirer le contenu de la fosse iliaque droite du patient jusqu’à son flanc droit. Puis, les doigts quittent le ventre et refont ce geste 2 fois. Puis, de la même façon, ces doigts rapprochent trois fois le contenu abdominal de son nombril à son flanc droit. Puis, de la même façon, ces doigts ramènent trois fois le contenu abdominal de son nombril vers la vésicule biliaire. Puis l’examinateur palpe 6 premières dysfonctions de ce syndrome constant des CoViD-19.

  • Cas 1, l’examinateur palpe une amélioration d’au moins 30% des 6 premières dysfonctions de ce syndrome constant des CoViD-19, et surtout de la douleur de la fosse iliaque droite.

Les dermalgies sous mamelonnaires droite et gauche se sont aggravées, ou pas. L’examinateur provoque l’aggravation du syndrome constant du CoViD-19 en passant à gauche du patient et en posant la pulpe des quatre derniers doigts de sa main dominante sur le flanc droit du patient. En longeant la branche ilio-pubienne du bassin du patient, la pulpe de ses doigts appuie aussi profond que possible, sans déclencher trop de douleurs, pour tirer le contenu de la fosse iliaque droite du patient jusqu’à son pubis. Puis, ces doigts quittent le ventre et refont ce geste 2 fois. Puis, de la même façon, ces doigts rapprochent trois fois le contenu abdominal de son flanc droit à son nombril. Puis, de la même façon, ces doigts ramènent trois fois le contenu abdominal de sa vésicule biliaire vers son nombril. L’examinateur vérifie alors la récidive de ce syndrome constant des CoViD-19, en tirant le colon de ce patient vers l’intérieur.

Des patients ne perçoivent que les aggravations du syndrome constant, et d’autres que ses améliorations. Des patients ne sont convaincus que par les aggravations et d’autres que par les améliorations. Plusieurs amélioration/aggravation sont parfois nécessaires pour inciter le patient à tirer son colon vers l’extérieur, matin et soir, durant 21 jours, après lui avoir appris à tirer lui-même son colon vers l’extérieur. Pour cela, les mains du thérapeute se saisissent de la main droite du patient. Et elles apprennent à la pulpe des quatre derniers doigts de cette main droite à tirer par 3 fois leur cæcum de son pubis à son flanc droit, puis par 3 fois leur colon droit de son nombril à son flanc droit, puis par 3 fois leur angle colique droit de son nombril vers sa vésicule. Puis les mains du thérapeute se saisissent de la main gauche du patient. Elles apprennent à la pulpe des quatre derniers doigts de cette main gauche à tirer par 3 fois leur angle colique gauche de son nombril vers sa rate, puis à tirer par 3 fois leur colon gauche de son nombril à son flanc gauche, puis à tirer par 3 fois leur colon sigmoïde de son pubis à son flanc gauche. Le thérapeute vérifie alors la disparition d’au moins 80% du syndrome constant des CoViD-19, et l’apparition de la dermalgie sous mamelonnaire droite et gauche. Ces dernières dermalgies et d’autres éventuels symptômes CoViD ne disparaissent qu’après quelques jours du massage tirant le colon vers l’extérieur. Attention aux patients oubliant leurs exercices, ou les réalisant mal, ou pas assez souvent ou pas pendant 21 jours. Ils guérissent peu, lentement ou pas du tout, ou récidivent… Aller à l’étape 2.

  • Cas 2, après avoir tiré le colon droit du patient vers l’extérieur, l’examinateur palpe que les 6 premières dysfonctions de ce syndrome constant des CoViD-19 s’aggravent, et surtout la douleur de la fosse iliaque droite.

Les dermalgies sous mamelonnaires droite et gauche ne changent pas. Puis l’examinateur vérifie que, chez ce patient, tirer le colon vers l’extérieur améliore instantanément les 6 premières dysfonctions de ce syndrome constant des CoViD-19, voir cas 1. Les dermalgies sous mamelonnaires droite et gauche se sont aggravées ou pas. Puis l’examinateur vérifie que, chez ce patient, tirer le colon vers l’extérieur provoque une récidive instantanée de ce syndrome constant des CoViD-19, voir étape 1.

Plusieurs amélioration/aggravation sont parfois nécessaires pour inciter le patient à tirer son colon vers l’intérieur, matin et soir, durant 21 jours, tout en lui apprenant à tirer lui-même son colon vers l’intérieur. Pour cela, les mains du thérapeute se saisissent de la main gauche du patient. Et elles apprennent à la pulpe des quatre derniers doigts de cette main gauche à tirer par 3 fois leur cæcum de son flanc droit à son pubis, puis par 3 fois leur colon droit de son flanc droit à son nombril, puis par 3 fois leur angle colique droit de sa vésicule à son nombril. Puis les mains du thérapeute se saisissent de la main droite du patient. Elles apprennent à la pulpe des quatre derniers doigts de cette main droite à tirer par 3 fois leur angle colique gauche de sa rate à son nombril, puis par 3 fois à tirer leur colon gauche de son flanc gauche à son nombril, puis par 3 fois à tirer leur colon sigmoïde de son flanc gauche à son pubis. Le thérapeute vérifie alors la disparition d’au moins 80% de ce syndrome constant des CoViD-19 et l’apparition des dermalgies sous mamelonnaire droite et gauche. Ces dermalgies et la plupart des autres symptômes des CoViD-19 ne disparaissent qu’après quelques jours du massage tirant le colon vers l’intérieur. Attention aux patients oubliant leurs exercices, les réalisant mal, ou pas assez souvent ou pas pendant 21 jours… Aller à l’étape 2.

  • Cas 3, après avoir tiré le colon droit du patient vers l’extérieur, plus rarement, l’examinateur palpe que les 6 premières dysfonctions de ce syndrome constant des CoViD-19 et que ses dermalgies sous mamelonnaire droite et gauche changent peu ou pas.

L’examinateur tire alors le colon du patient vers l’extérieur, comme dans le cas 2. Après ce massage, quand ce syndrome constant des CoViD-19 s’améliore, alors l’examinateur reprend le protocole du cas N° 2. Après ce massage, quand ce syndrome constant des CoViD-19 s’aggrave, l’examinateur reprend le protocole du cas N° 1. Après ce massage, quand ce syndrome constant des CoViD-19 ne change pas, recommencer avec le massage de l’étape 1. Après plusieurs échecs, évoquer une erreur de palpation de l’examinateur, une incompréhension du patient et, le plus souvent, que d’autres pathologies dépassant le cadre de cet article compliquent le CoViD-19. Très rarement ces deux massages du colon sont inefficaces sur les CoViD-19 aigus et longs.

Étape 2, les douleurs du colon résultent souvent de dysmicrobismes empêchant l’assimilation des micronutriments. Compléter avec le massage du colon adapté au patient par des vitamines, du zinc et des probiotiques.

Ces massages du colon étant inoffensifs, au pire ils seront inutiles, au mieux ils aident les patients à guérir. Les formations en ostéopathie complètent la formation médicale et aident, pour chaque patient, à poser des diagnostics, à prescrire des traitements, à suivre leur efficacité et à dépister et prévenir leurs effets secondaires.

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Dr ROSA Bernard

AuteurDr Bernard ROSA

Docteur Bernard ROSA est un médecin généraliste, diplômé en médecine manuelle ostéopathie. Il est titulaire d’un doctorat en Médecine et spécialiste de sa discipline médicale.